La chute dans l’objectif de 5 photographes
Le Parc de la Chute-Montmorency n’est pas seulement magique quand il fait 40 degrés et que recevoir des gouttelettes d’eau dans le visage est synonyme d’extase.
On peut bien vous le répéter, mais on préférait vous le montrer. On a donc envoyé cinq photographes en mission pour immortaliser « leur » chute Montmorency.
Une chose est sûre, la beauté est dans les yeux de celui ou celle qui photographie.
Parc de la Chute-Montmorency
L’arrivée de l’automne
Par Julie Audet
En contraste avec la chute et les parois rocheuses, les couleurs automnales sont encore plus impressionnantes à voir. On ne sait pas pour vous, mais on trouve que visiter le Parc de la Chute-Montmorency est une activité familiale idéale avant que le froid s’installe.
Enfilez votre coupe-vent, longez la falaise et profitez du paysage à partir du belvédère de la Baronne. Aucune déception à l’horizon, on vous l’assure.
Avis aux fanatiques d’animaux sauvages, Julie Audet a de quoi vous faire plaisir. Son compte Instagram est une véritable ode à la faune québécoise. De la biologie à la photographie, elle était destinée à baigner dans les splendeurs de la nature.
À 360 degrés
Par Jeanne Rondeau-Ducharme
Quand on parle du Parc de la Chute-Montmorency, on pense à la vue de la chute et de son pont suspendu, évidemment. Mais en se tournant la tête un brin, on aperçoit aussi, au loin, la ville de Québec.
Monter en téléphérique, c’est le meilleur moyen d’absorber tout ce panorama en même temps. Les clichés de Jeanne vous convainquent? Allez, on se rejoint en haut.
Suivre Jeanne Rondeau-Ducharme sur Instagram, c’est tomber en amour avec la nature québécoise un peu plus chaque saison. Qu’elle photographie une montagne, un lac ou une chute de 83 mètres, elle donne envie de tout lâcher pour partir explorer.
À l’heure dorée
Par Carol-Anne Tremblay
En visite au Parc de la Chute-Montmorency, on n’a pas besoin de s’attrister de voir le jour tomber. Parce que quand le soleil descend, le spectacle est tout aussi époustouflant qu’à l’heure du midi.
Pourquoi ne pas profiter des sentiers moins achalandés pour aller déambuler dans cette douce lueur de fin d’après-midi? En tout cas, nous, on va certainement se laisser influencer par Carol-Anne.
Faire glisser le fil Instagram de Carol-Anne Tremblay, c’est être témoin d’un mélange parfait de plein air et de belle lumière. Cette créatrice de contenu sait où (et quand!) pointer sa caméra pour qu’un paysage ne passe pas inaperçu.
Les premières lueurs du jour
Par Quentin Orain
Faites comme Quentin et découvrez la chute Montmorency en début de journée, thermos de café à la main. Pour bien vous réveiller, vous avez l’embarras du choix : grimper les 487 marches de l’escalier panoramique, parcourir le sentier des Résurgences ou vous lancer dans le vide en tyrolienne.
Et une fois que vos aventures vous auront ouvert l’appétit, arrêtez-vous à l’un de nos restaurants, celui du Manoir, par exemple, pour un lunch bien mérité.
En tant qu’adepte de la course en sentier, Quentin Orain n’en était pas à son premier réveil de bonne heure lorsqu’il s’est rendu au Parc de la Chute-Montmorency au petit matin. Quand on fait défiler son Instagram, on voit que son talent en photo n’a pas d’horaire.
Sous la pluie
Par Thomas Tessier
Même en pleine averse, la chute Montmorency ne laisse personne indifférent. Parlez-en à Thomas! La passerelle a un petit quelque chose d’ensorcelant quand la pluie se met à tomber.
Et que dire de la brume? Ça donne presque envie de choisir une journée grise pour s’y rendre. On évite les foules et on voit la chute sous un tout autre angle. Un deux pour un à faire rêver…
On raffole du petit côté vintage des images que publie sur son Instagram le directeur artistique et photographe Thomas Tessier. Ça se voit, c’est le genre de gars qui se lance dans chaque projet à 150 %, beau temps mauvais temps.